Des jeux de groupes, des jeux à thème, des jeux individuels…
Voici toutes les sections JEUX du site !!
- JEUX ANNIVERSAIRE : des jeux pour les fêtes d’enfants
- JEUX À THÈME : Noël, Pâques, Halloween…
- JEUX BÉBÉS pour enfants de 0 à 3 ans (5 à 20 minutes).
- JEUX MATERNELLE : pour enfants de 3 à 5 ans.
- JEUX 6 8 ANS : pour enfants de 6 à 8 ans.
- JEUX 9 12 ANS : pour enfants de 9 à 12 ans.
- JEUX POUR ADOS de 12 à 18 ans (5 à 45 minutes).
- PETITS JEUX pour enfants à partir de 3 ans (5 à 30 minutes).
- GRANDS JEUX pour enfants à partir de 3 ans (30min à 2 heures).
- MEILLEURS JEUX DE SOCIÉTÉ testés et approuvés !!
Par le jeu, l’enfant apprend :
Des comportements de base, tels l’ordre, le soin, l’application, la patience, la concentration.
Des connaissances de base, tels les contraires (la neige est froide au toucher tandis que le soleil me réchauffe, ma peau est douce tandis que la barbe de papa est rude), tels aussi les liens de cause à effet (si je construis une tour trop haute, elle s’écroule. Si je marche sur la pointe des pieds, on ne m’entend pas. Si je tire sur la ficelle, le canard en bois avance. Si je frappe deux couvercles l’un contre l’autre, ça fait du vacarme).
Des comportements sociaux positifs, tels l’attention à l’autre, le partage, la limitation de ses propres désirs, la distinction entre le mien et le tien.
Pour un enfant qui joue, il est important :
D’avoir le temps de jouer, et ne pas être obligé d’interrompre brusquement ses jeux.
De pouvoir « travailler » tout seul, sans que les adultes le découragent sans arrêt.
Que son jeu soit pris au sérieux, qu’on respecte ses réalisations.
Qu’il sente qu’on l’aime tel qu’il est (habile ou malhabile, hyperactif ou rêveur…).
Qu’on l’incite à jouer, qu’on stimule son imagination de nombreuses manières.
Que les adultes consacrent beaucoup, beaucoup de temps à jouer avec lui.
Que chaque objet ait une place déterminée.
La balle est donc dans votre camp !
Créez une atmosphère de jeu agréable et détendue, dans laquelle l’enfant se sentira bien.
Prévenez-le qu’il devra arrêter de jouer assez tôt pour qu’il ait le temps de s’y préparer, de terminer ce qu’il a commencé.
Faites preuve de patience ! Si vous voulez toujours lui apprendre des choses nouvelles, si vous intervenez sans cesse pour le corriger, il se sentira stressé et dépassé, et réagira en pleurant de colère, de déception, de découragement, ou en se butant. Ceci veut dire que vous devez patiemment attendre la prochaine étape du développement : elle se présentera, n’ayez crainte !
Exhortez-le à ne pas perdre courage face à un échec.
Ne vous moquez pas de ses créations, ne les jugez pas selon l’échelle de valeur des adultes. Les enfants ont sur le monde un autre regard et trouvent leurs œuvres belles, même si elles vous semblent maladroites.
Participez gaiement à ses jeux, encouragez-le en le félicitant.
Prenez le temps de jouer avec lui. Mais attention : les enfants jugent très vite si l’adulte est tout entier au jeu, s’il est pressé, ou s’il joue avec lui seulement pour se donner bonne conscience.
Stimulez-le de nombreuses manières : laissez-le faire ses expériences, tranquillement, avec des objets qui ne sont pas à proprement parler des jouets (ustensiles de cuisine). La cuisine est d’ailleurs un thème adapté pour apprendre en s’amusant. Accompagnez-le dans sa reconnaissance de l’environnement, d’abord immédiat (maison, appartement, jardin), puis plus large (la nature, la ferme, le marché, la ville).
Ne lui donnez pas que des jouets tout faits, mais aussi de quoi susciter son imagination et le pousser à faire des expériences, à jouer, à fabriquer.
Mettez à sa disposition des boîtes, corbeilles et caisses de couleurs différentes où il pourra ranger convenablement ses jouets.
Respectez le principe « le mieux est l’ennemi du bien » lorsque vous lui présentez des jouets : si un enfant doit chaque jour choisir parmi des jouets innombrables, il se sentira dépassé et réagira en se montrant irrésolu, déconcentré et destructeur.
Stimulez-le en fonction de son âge : des idées de jeux, des jouets, ou des livres trop en avance sur son stade de développement réel le découragent au lieu de le faire progresser.
Laissez régulièrement l’enfant en paix : il faut qu’il ait le temps d’être seul, de lambiner, de rêvasser. Aucun enfant, aussi intelligent fût-il, ne résiste à un flux incessant d’idées (jeux…) et de stimulations nouvelles.