Presque des anges (1962 – 93 min)
Avidement soutenu par sa mère mais avec un père plus réticent au début, un jeune Autrichien (Tony Fiala) de la classe ouvrière rejoint le chœur des petits chanteurs de Vienne, où il se révèle être exceptionnellement talentueux. Les épreuves d’initiation que les nouveaux garçons doivent endurer aux mains de leurs aînés sont intensifiées dans son cas car il a suscité la jalousie de Peter, le soliste du chœur, qui a peur de perdre sa place face à la magnifique voix de soprano de Tony. Le fait est que la voix de Peter est éraillée, et avec une voix cassée va souvent avec un cœur brisé. Mais, encouragé par le directeur et tous les garçons, Peter va développer un nouveau rôle en tant que compositeur et chef d’orchestre.
Petit extrait en V.O.
L’intrigue est essentiellement familière; un jeune garçon à ses humbles débuts aspire à la grandeur apparemment hors de sa portée et rencontre des épreuves dans la réalisation de ses rêves.
Presque des anges surprend le spectateur avec ses aperçus francs et réalistes au jour le jour derrière le célèbre chœur de Vienne avec des représentations honnêtes de la jalousie, de l’inspiration, de la compétitivité, de l’amitié et de l’espièglerie caractéristiques des adolescents.
Presque des anges (titre original : Almost Angels) dispose d’une belle musique et délivre une histoire très inspirante. Ce film marque « les valeurs de la famille » Disney et le fameux « atteindre les étoiles » classique d’un scénario qui saisit le spectateur dès le début.
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